La Conférence Mondiale de la Radio touche à sa fin ...
Plus que 3 jours de travail - la session plénière qui approuve les textes concluera jeudi 21 à midi. Les délégués de la CMR-19 sont face aux dernières discussions pour arriver à l'un ou l'autre consensus y compris sur l'agenda de la prochaine CMR en 2023.
Pour les points de la future CMR il y a encore très peu de choix parmis les nombreuses propositions, dont chacune nécessitera des études préalables dans la prériode 2020-2023, et les resources UIT ne pourront probablement même pas assurer la moitier. Certaines rencontrent de vives oppositions, et d'autres sont encore très vagues. Le commité responsable n'a plus qu'un seul jour, donc un vrai challenge.
Pour les satellites de courtes durées: il n'y a toujours pas d'accord sur une protection des services existants sur les fréquences montantes pour la télémétrie, le suivie et la télécommande de ces "simples" satellites.
5725-5850 MHz: Ce segment, alloué aussi au service amateur à titre secondaire, y compris le segment pour le service amateur satellite dans le sens espace-terre de 5830-5850 MHz, est toujours en dispute avec un conflit sur les paramètres de systèmes d'accès sans fil y compris les "radio local area networks".
Les fréquences au delà de 275 GHz: Il n'y a toujours pas d'allocation concrète pour ces fréquences, mais plusieurs bandes ont été identifiées pour des services passifs (uniquement réception) et les administrations sont encoragées à les protéger d'interférences.
Quelques bandes ont aussi été identifiées par la CMR-19 pour des services mobiles et fixes. L'utilisation de ces bandes par des radioamateurs reste possible.
50 MHz en Region 1: Les compromis obtenues la semaine dernière ont survécus les différentes commissions et attendent la ratification lors de la réunion pléniaire.
Après cet effort l'équipe IARU se dévoue pour expliquer pourquoi la proposition pour une étude de la bande 1240-1300 MHz 'est pas nécessaire ni utile.
Tim Ellam, VE6SH, président de l'IARU a du quitter la réunion la semaine dernière, mais il reste présent et visible durant une interview diffusé sur différents écrans dans les halls de la conférence.
Pour les points de la future CMR il y a encore très peu de choix parmis les nombreuses propositions, dont chacune nécessitera des études préalables dans la prériode 2020-2023, et les resources UIT ne pourront probablement même pas assurer la moitier. Certaines rencontrent de vives oppositions, et d'autres sont encore très vagues. Le commité responsable n'a plus qu'un seul jour, donc un vrai challenge.
Pour les satellites de courtes durées: il n'y a toujours pas d'accord sur une protection des services existants sur les fréquences montantes pour la télémétrie, le suivie et la télécommande de ces "simples" satellites.
5725-5850 MHz: Ce segment, alloué aussi au service amateur à titre secondaire, y compris le segment pour le service amateur satellite dans le sens espace-terre de 5830-5850 MHz, est toujours en dispute avec un conflit sur les paramètres de systèmes d'accès sans fil y compris les "radio local area networks".
Les fréquences au delà de 275 GHz: Il n'y a toujours pas d'allocation concrète pour ces fréquences, mais plusieurs bandes ont été identifiées pour des services passifs (uniquement réception) et les administrations sont encoragées à les protéger d'interférences.
Quelques bandes ont aussi été identifiées par la CMR-19 pour des services mobiles et fixes. L'utilisation de ces bandes par des radioamateurs reste possible.
50 MHz en Region 1: Les compromis obtenues la semaine dernière ont survécus les différentes commissions et attendent la ratification lors de la réunion pléniaire.
Après cet effort l'équipe IARU se dévoue pour expliquer pourquoi la proposition pour une étude de la bande 1240-1300 MHz 'est pas nécessaire ni utile.
Tim Ellam, VE6SH, président de l'IARU a du quitter la réunion la semaine dernière, mais il reste présent et visible durant une interview diffusé sur différents écrans dans les halls de la conférence.