UBAUnion royale belge des amateurs-émetteurs a.s.b.l.

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Photo: Couloir

TM1TARA - Port des Champs Elysées

Date Until: 
11/12/2012
Afin de commémorer les missions scientifiques du voilier polaire TARA, l’indicatif spécial TM1TARA sera activé depuis Paris du 8 au 10 décembre sur le port des Champs Elysées, rive droite (au niveau du Pont Alexandre 3) dans le cadre de l’exposition «Tara expéditions, à la découverte d’un nouveau monde: l’océan».

Deux stations seront activées simultanément du 10m au 20m en phonie par 2 membres du CDXC : F8DVD François et F8IJV Sébastien. Les 3 jours d’activation permettront de mieux faire connaître au grand public l’activité radio-amateur et pourquoi pas de tenter des liaisons avec les stations polaires situées en arctique et en antarctique. Une carte QSL couleur spéciale sera éditée pour l’occasion, et les réponses seront assurées en direct ou par le bureau, via F8DVD : François Bergez 6, rue de la Liberté 71000 MACON.

Après 2 ans et demi à étudier les océans, la goélette TARA fait escale jusqu’au 27 janvier 2013 au port des Champs Elysées pour une exposition, des rencontres, des projections et des débats. Depuis 2003, l'organisation à but non lucratif Tara Expéditions organise des missions scientifiques et éducatives à bord du voilier polaire. Ses expéditions ont principalement pour sujets : Océan et changement climatique. En près de 10 ans, huit expéditions ont été réalisées par ce navire de légende dont, Tara Arctic, une aventure scientifique et humaine de 17 mois dans les confins de l’océan Arctique (2006-2008) et Tara Oceans, 2 ans et demi sur tous les océans du monde (2009-2012) pour étudier le rôle du plancton et de l’océan dans la machine climatique. Après des escales en Europe cet hiver, la goélette repartira dès 2013 en mission pour le Grand Nord. Tara tentera d’effectuer le tour de l’Océan Arctique par les passages du Nord-Ouest et du Nord-Est si la glace le permet… La plupart des scientifiques et instituts impliqués dans Tara Oceans accompagneront ce voyage pour étudier l’écosystème polaire marin et compléter le travail effectué depuis 2009. Ce sera aussi l’occasion d’ajouter de nouveaux programmes de recherche spécifiques à cette région, sur les particules de plastique ou sur les traces de polluants.